l'arrivé d'une calèche

L'histoire commence sur une petit route d'Italie, (non, en fait, il y a eu bien des événements avant cela, mais il seront cités plus tard)

Dans la magnifique campagne dont est pourvue ce pays, on peut apercevoir une traînée de poussière qui progresse à toutes vitesse le long d'un chemin.

A la tête de ce long serpent de poussière se trouve une calèche tiré par deux grandes mules, une vieille calèche craquante et grinçante alors qu'elle fonce à vive allure, faisans des bon énormes à chaque nids de poules ou bosse, menaçant de se démantibuler et tomber en pièce à chaque secousse.

Sur ce véhicule, on peut apercevoir un grand homme, bâtit comme une armoire, il est coiffé d'un chapeau blanc en toile, et ceinturé d'un bandeau noir;
il est accoutré d'un grand pantalon marron retenue par des bretelles et vêtue d'une chemise rouge rayé de noir.

Sa conduite en dit long sur son état, il semble passablement pressé, et l'attitude sur son visage et inquiétante, ses trait sont caché par une épaisse barbe, mais on peut voir aux gouttes qui coule le long de son front qu'il ne s'amuse aucunement.

Il arrive finalement en vue d'un petit village de l'endroit, lieu typique de ce que l'on imagine du village Italien, un grand nombre de maison couleurs pastel varié, coiffé de tuile rouge , et un peu partout, des pergolas recouverte de vigne grimpante.

il s'enfonça dans les rues étroite du village, non sans attirer les regards des gens, mais il s'en moque éperdument, car il touche à son but. En effet, ici se dresse le cabaret de la famille Corléone.

après avoir garé sa calèche, il se présenta à l'entrée, face à deux gorille qui avait la capacité par le regard de dissuader quiconque ayant de mauvaise intention de pénétrer dans ce lieu.

Une fois à l'intérieur, il se dirigea de suite vers le bar, ou il commanda un café ristretto, très ristretto;
Puis, le buvant d'un coup sec, il demanda au barista avec qui il aurait pu s'entretenir pour discuter de chose sérieuse, dans un lieu un peu plus à l'écart, qui ne doivent être entendu que de certaines personnes.

Il avait à s'entretenir avec la famiglia...

Don Jyss Corleone avait observé de loin la scene.

- Tony, tu me fais preparer sur le champs une suite pour notre hote. Et tu lui ouvres crédits illimités dans nos casinos et cabarets!

Don Jyss attendait. Il voulait recevoir ce nouvel hote avec le respect du a son rang. Il le fit parvenir dans un salon privé.

- Entrez tres cher. Prenez vos aises. Et si le votres veulent nous rejoindre, ils sont aussi nos invités. Vous n'êtes donc pas sans savoir que nous avons entretenu une relation pour le moins "tendue" avec vos predecesseurs, et que nous avons donc engagé des fonds dans ce que nous appelions la reparation.[

Don Jyss se leva et prepara lui même un verre d'alcool fin pour son invité, puis il se servit un verre d'eau.
Se reinstallant, il poursuivit :

- J'écoute donc votre version, vos solutions... Nous sommes ouverts a tout...

Je vous remercie pour la patience que vous allez certainement devoir me consacrer, c'est très respectable, merci.

Je vais donc vous anoncer tout ce que je sais, j'ai appris tout cela très exactement hier à 19H30.

Tout commence le jour ou j'ai prit possession de l'héritage que ma légué mon prédécésseurs PeterMcDu, alias Tardy.

Revenant d'une longue absence dans cet univers, je suis de suite allé rendre visite à de vieille connaissance, avec qui j'ai discuté un moment.

Au beau milieu de la conversation, un amis de mes amis qui est mon voisin m'a fait prendre connaissance de la présence de membres de la famille Corléones dans les environs, et m'a révélé leurs intention.

Je lui ait demandé un peu plus de précision, et il m'a dit avoir observer à la phalange des mouvement fréquent de RIP en direction d'une propriété des Corléones de la part de Peter.

il m'a aussi dit avoir prévenu Peter, qui était resté très sereint et savais ce qui l'attendais.

Je devine la suite, en réponse au pillonage de Peter, la famille Corléones s'est mobilisé pour contrer cette menaces, sans oublier de passer par la diplomatie, mais sans succès.

étant donc le tout nouveau propriétaire des terres que je représente, je suis favorable à la diplomatie.

mais j'aimerais avant de proposer une quelconque solution, connaitre les évenements un peu plus en détails, connaitre votre version.

Don Jyss Corleone joignit ses mains devant son visage... Comme pour reflechir un instant... La réalité est qu'il avait souvent vu le padrino en faire ainsi avant de dire quelque choe d'important, et, il trouvait que ca "en jetait". Il marqua donc alors la pose. Puis, il inspira un moment, et saisissant alors son verre, fit tournoyer le fond d'eau qui subsitait à sa soif. Il commença.

- Il est une jeune de chez nous. Nous l'appelons affectueusement la mama, même si elle repond au doux acronyme de Donna Lulu Corleone. Elle a du faire une fois ou deux une erreur strategique, dont Peter a su profiter. Et nous n'en avons tenu rigueur qu'a notre mama, elle même consciente de sa bévue. Par contre, quand celui-ci a commencé a s'acharner, et a faire du cassage de defenses a pertes, nous n'avons pas apprécié. Par respect pour votre famille, j'ai moi-même tenté la diplomatie avec Peter, puis, ayant un mur en face de moi, avec un de vos membres (le meilleur classé a l'époque). La réponse bien courtoise, fut que nous n'avions qu'à nous débrouiller. Nous avons donc décider d'investir dans des tondeuses a gazons, pour embellir un peu les pentes des collines du Sieur MacDu, et eviter que les cadetes de vos familles ne tombent inlassablement lors de leurs courses effreinées.

Don Jyss massa alors ses tempes, car... bref, il massa ses tempes avec ses index et majeurs de chaque main.

- Hasard troublant du calendrier, vous heritez des terres juste au moment ou nous voulions tester nos tondeuses... Voilà pour notre version, la plus dénuée de jugement de valeur qu'il soit. Vous reprendrez un verre?

El Mad Canardo commencé à se sentir à l'aise en ce lieu en compagnie de cette personnes si courtoise.

Avec plaisir, merci, un remontant est de mise.

En effet, tout cela sonne étrangement.

Peter décide de quitter sa ferme et de me la légué à cette date, le tout en hométant très précisémment de me parler de cette affaire qui n'est pas sans importance.

Alors que s'est-il passait dans sa tête de vieux fermier fatigué ? Oublie ? Cadeau empoisonné ? ou autre plan machiavélique....

Le fait est que c'est à moi qu'il en incombe de régler cette affaire.

Donc parlons maitenant des solutions.

je présume que c'est à vous d'en imposer les conditions.

je vous écoute et nous pourrons ainsi débattre sur ce sujet.

Son interlocuteur restant silencieux, El Mad Canardo reprit la parole :

- j'ai pensé à différentes solution,

Tout d'abord celle qui me semble inévitable, celle d'un remboursement des pertes, et voir même plus.

Ensuite, j'ai pensé à d'autre propositions en remplacement partiel ou en plus.

Par exemple, une protection du joueurs concernés, et même une aide fortement appuyé sur bien des point.

Il reste bien sur à affiner tout ces points.

je vous laisse le temps de réfléchir sur ce point important.

je reviendrais fréquemment voir si vous avez déposez votre verdict.

Don Jyss avait maintenant quitté le ton protocolaire qu'il detestait plsu que tout. Il pouvait afficher le sourire qui le quittait rarement en dehors de sa loge.

- Pour être franc, on s'etait mis en tête de laver un affront, et on a depensé beaucoup. De plus, nous voila privé d'un beau feu d'artifice. Nous n'avaons pas encore pensé au type de solution. Sinon, maintenant que nous semblons avoir quelqu'un de responsable en face, nous laisserons la Cupola statuer sur ce cas... Votre proposition sera étudiée. En attendant, veuillez profiter de notre cabaret, et vous regaler de tout ce qu'il y a tester ici. Vous êtes chez vous. Detente et fiesta au programme.

Don Jyss debarqua avec cet air détaché qu'il avait quand tout se passait bien. Il devait certainement être en recherche de nouvelle blague pour faire rire la galerie. Il s'arreta pret du maître d'hotel, et lui dit discretement a l'oreille :

- Paulo mio, tu diras à notre invité de marque qu'il peut me contacter quand il le désire par missive privée, pour que nous concretisions cette histoire sans heurt, et surtout, comme des gens respectables. Et surtout, tu ne remets ce message qu'à lui, et lui seul. Ciao...

Don Jyss était déjà reparti, comme happé par les dédales de ce palace Corleone...