Max
Quand je suis né, mon père n’a pas le pouvoir de m’élever : il dut me porter en un endroit appelé La rue.
Là siégent la mafia ett les famillia, prêts à rendre leur jugement,
Ils m’ont examiné et ils m’ont trouvé bien charpenté et robuste.
Si j’aurais été mal venu et mal constitué, ils m’auraient jeté dans une poubelle de la rue.
Ils pensent qu’il vaux mieux, pour lui-même et pour la famillia, ne pas laisser vivre un être qui n’est pas prédisposé dès sa naissance à jouir de santé et de force...
Lorsque que je suis arrivé à l’âge de sept ans, il m’ont pris et soumis à un régime communautaire pour m’habituer à jouer et à travailler ensemble.
A sa tête, la troupe place celui dont l’intelligence s’impose et qui me met le cœur à se battre. C’est lui qu’on suit des yeux, dont on écoute les ordres, qui punit, le PADRE.
Les vieillards surveillent les jeux des enfants. Ils ne manquent pas une occasion de susciter entre eux des bagarres et des rivalités. Ils ont ainsi dooner le moyen de scruter les dispositions naturelles de chacun à l’audace et à l’intrépidité dans la lutte. Ils n’apprennent à lire et à écrire que le strict nécessaire. Tout le reste de leur éducation vise à les dresser à l’obéissance, à les rendre durs à la peine et à vaincre dans les discussions.
Lorsque j'ai grandit, j'ai recu un entraînement plus sévère encore : ils m'ont rasé la tête, fait marché sans chaussures, jouent nus la plupart du temps. Telles sont leurs habitudes. A douze ans, j'ai cessé de porter chemise. On ne leur donne plus qu’un manteau par an. Ils ne font plus toilette, ne connaissent plus ni bains, ni frictions, à l’exception de quelques rares jours dans l’année où ils ont droit à ces « bonnes manières ». Ils dorment sur des paillasses qu’ils fabriquent eux-mêmes avec des journaux qu'ils trouvent sur les bords des routes.
Ils assistent à leurs exercices, les regardent se battre ou plaisanter entre eux. Ils ne négligent rien, se considérant en quelque manière, tous pour tous, comme des pères, des maîtres et des chefs. Aussi ne laissent-ils ni un instant, ni un coin en refuge au coupable pour échapper à la réprimande et à la punition. Néanmoins, on désigne aussi un paidonome parmi les gens considérés, et chaque troupe met à sa tête, choisi parmi ceux qu’on nomme les irènes, le plus sérieux et le plus combatif.
Cet irène, qui est âgé de vingt ans, commande ses subordonnés dans les exercices militaires et, au cantonnement, il les charge des tâches domestiques. Il ordonne aux plus forts d’apporter du bois, aux plus petits des légumes. Pour en rapporter, ils doivent les voler. Les uns s’introduisent dans les jardins, les autres se faufilent dans les popotes des hommes, et il leur faut beaucoup d’adresse et de précaution, car celui qui est pris reçoit une volée de coups de fouet sous prétexte qu’il n’est qu’un voleur paresseux et maladroit. Ils volent toute la nourriture qu’ils peuvent et ils acquièrent du savoir-faire pour s’en prendre aux dormeurs ou aux gardiens paresseux. Celui qui se fait prendre en est quitte pour des coups et pour jeûner. Maigre est leur pitance, en effet.
On veut qu’ils se défendent par leurs propres moyens contre les restrictions et soient obligés de recourir à l’audace et à l’adresse... Les enfants mettent tant de soin à ne pas se faire prendre quand ils volent que, dit-on, l’un d’entre eux, ayant volé un renardeau qu’il avait roulé dans son manteau, se laissa arracher le ventre par le sauvageon qui y enfonçait dents et griffes. Plutôt que d’être découvert, il résista jusqu’à la mort. Cette histoire n’a rien d’incroyable à en juger par les éphèbes actuels. Beaucoup, sur l’autel d’de la maison, se laissent fouetter à mort. Je les ai vus. Après le dîner, l’irène encore à table ordonnait à un des enfants de chanter, posait à un autre une question qui exigeait de la réflexion pour y répondre.
Quel sera ton metier chien ?
Haou Haou Haou, mon padrei !!!!
Bien , la derniere épreuve, …
Tu dois aller tuer un ennemi a main nus ….
Trois semaines plus tard, alors que tout le monde me croyait mort je revint, avec une voiture et une dizaine d’hommes de la famille adverse dedans…
Je fis membre et continua à egorger mes victimes, continuant apres leur mort a les bruler et a jeter les restes dans les poubelles de leur famille…..
Me voila enfin membre, a la tete de quelques milliers de balles exactement 1800 mais je pense elargir vite mon cortege a plus de 50 000 balles……
Max, membre de la mafia, en attente de trouver une famille….
Voila ma candidature elle est longue mais cela me tenait a coeur de faire quelque chose d'excellent .....
Sujet: Nouveau membre de la mafia 
